Réseau des chargé.e.s de coopération de la CTG du 94
Le 15 octobre 2025
Pour accompagner les acteurs de la CTG du 94 et en partenariat avec la CAF du Val-de-Marne, Ressources Urbaines anime le réseau des chargé.e.s de coopération de la CTG.
Pour plus d’informations et pour rejoindre ce réseau, n’hésitez pas à nous contacter : sophie.correia@ressourcesurbaines.org
Lieu
Orly
Objectifs
Échanger entre professionnels sur vos pratiques et problématiques
Partager votre actualité, vos expériences et vos ressources
Poursuivre le travail sur la question du réseau partenarial territorial impulsé dans le cadre du déploiement de la CTG
Réseau des chargés de coopération de la CTG de Seine-et-Marne
Le 18 septembre 2025
Dans le cadre de l’accompagnement du déploiement de la CTG de la CAF de la Seine-et-Marne, Ressources Urbaines réunit le réseau des chargés de coopération des territoires signataires d’une CTG avec la CAF.
Si vous êtes concernés et souhaitez rejoindre le réseau, contactez-nous par mail : sophie.correia@ressourcesurbaines.org
Lieu
Melun
De 14h à 17h
Objectifs
Tour des actualités
Suite des travaux en ateliers sur les sujets choisis lors du lancement du
réseau
Public Concerné
Les chargés de coopération de la CTG de la Seine-et-Marne
Rapport Paroles d’habitant·es des quartiers populaires & Inégalités éducatives
Le 29 septembre 2025
En lien avec la Fédération des centres sociaux, Ressources Urbaines a accompagné les centres sociaux intéressés par la démarche « Paroles d’habitants ». Ce recueil auquel ils ont collaboré sera présenté lors de cette journée.
Matinée : Sortie nationale de la 7ème édition du Rapport Paroles d’habitant·es des quartiers populaires sur la thématique “(In)sécurité et vulnérabilité”
Après-midi : Face aux inégalités éducatives, quelles actions dans les QPV ?
Lieu
Palais de la Femme
94 Rue de Charonne
75011 Paris
Public Concerné
Centres sociaux, fédérations départementales et centres de ressources Politique de la ville
Les enjeux du vieillissement dans les quartiers prioritaires du Val-de-Marne
Crédit photo Jean LARIVE / Myop
Le 26 septembre 2025
PRESENTATION DE L’ETUDE DU SOCIOLOGUE NICOLAS LAURIOT DIT PREVOST
Conférence sur Migration, femmes et vieillissement par le sociologue SMAIN LAACHER
ET ATELIERS
Le vieillissement de la population est aujourd’hui une préoccupation pour la plupart des pays européens qui soulève des enjeux multiples pour assurer leur intégration et la préservation de leur autonomie. Rapporté aux quartiers prioritaires, le vieillissement croise des problématiques qui traversent tous les piliers des contrats de ville : l’habitat et le cadre de vie, le développement économique local et la lutte contre le chômage, ainsi que la cohésion sociale qui intègre notamment la santé et l’accès aux droits. Le vieillissement en QPV est certes un sujet à part entière, mais qui ne s’exprime pas aussi intensément ni de la même manière dans tous les QPV.
Journée organisée par Ressources Urbaines grâce au soutien de l’Agence Régionale de Santé et de la Préfecture du Val-de-Marne
Lieu
Espace Louise Voelckel
Rue du 8 mai 1945
94 380 BONNEUIL-SUR-MARNE
De 9h à 16h30
Public Concerné
Accessibilité aux professionnels de la politique de la ville et du droit commun
Les enjeux du vieillissement dans les quartiers prioritaires de l’Essonne
Crédit photo Jean LARIVE / Myop
Le 16 octobre 2025
PRESENTATION DE L’ETUDE DU SOCIOLOGUE NICOLAS LAURIOT DIT PREVOST
Conférence sur Migration, femmes et vieillissement par le sociologue SMAIN LAACHER
ET ATELIERS
Le vieillissement de la population est aujourd’hui une préoccupation pour la plupart des pays européens qui soulève des enjeux multiples pour assurer leur intégration et la préservation de leur autonomie. Rapporté aux quartiers prioritaires, le vieillissement croise des problématiques qui traversent tous les piliers des contrats de ville : l’habitat et le cadre de vie, le développement économique local et la lutte contre le chômage, ainsi que la cohésion sociale qui intègre notamment la santé et l’accès aux droits. Le vieillissement en QPV est certes un sujet à part entière, mais qui ne s’exprime pas aussi intensément ni de la même manière dans tous les QPV.
Journée organisée par Ressources Urbaines grâce au soutien de l’Agence Régionale de Santé et de la Préfecture de l’Essonne
Lieu
Attention changement de lieu :
Salle polyvalente du Centre de la Vie Sociale (CVS)
1 rue de la Plaine
91350 GRIGNY
De 9h à 16h30
Public Concerné
Accessibilité aux professionnels de la politique de la ville et du droit commun
Présentation, par Fabien Truong, de « Grands ensemble », livre issu de son enquête sociologique menée pendant dix ans à Grigny
Le 3 octobre 2025
Un livre de plus sur la banlieue ? Pour dénoncer son » communautarisme » et son » séparatisme » ? Pour célébrer sa » diversité » et son » dynamisme » ? Non. À rebours des clichés, une enquête patiente menée pendant dix ans par Fabien Truong et Gérôme Truc dans la foulée des attentats de 2015, à Grigny, ville » la plus pauvre de France » – qui est aussi celle du » terroriste de l’Hyper Cacher « .
Au plus près des personnes et des faits, Grands ensemble éclaire d’un nouveau jour le rapport des quartiers populaires aux attentats islamistes et, de là, la vie ordinaire de leurs habitantes et habitants, à l’épreuve des violences qui pèsent structurellement sur leur quotidien : celles des trafics et de la police, mais aussi de l’exploitation, de la pauvreté, du racisme, du virilisme et de la stigmatisation. À l’épreuve aussi des blessures intimes et des combats communs.
Comment tient-on dans ces conditions ? Qu’induit le fait de vivre en se sachant scruté par les médias, pointé du doigt quand un voisin bascule dans le terrorisme ? Pourquoi les conditions de vie dans ces quartiers ne cessent-elles de se dégrader, alors qu’une large part de leur population parvient à trouver sa place dans la société ?
Les réponses apportées ici épousent le rythme et les contours de multiples trajectoires entrecroisées. Des vies qui rappellent que la pauvreté et la marginalisation engendrent solidarités mais aussi rivalités, pavant la voie à un rapport au monde où le ressentiment coexiste avec l’espoir et la joie.
Lieu
Maison Départementale de l’Habitat
1 Bd de l’Ecoute S’il Pleut
91000 Évry-Courcouronnes
De 9h à 12h30
Public Concerné
Tous les professionnels de la politique de la ville et du droit commun.
SAVE THE DATE : « Rentrée des Cités Éducatives » de l’Essonne
Le 15 octobre 2025
En partenariat avec la Préfecture de l’Essonne, Ressources Urbaines co-anime la journée dédiée aux cités éducatives de l’Essonne.
La thématique choisie cette année : « Les Cités Éducatives comme source d’émancipation »
Pour plus d’informations, contactez-nous !
Lieu
Théâtre de Corbeil-Essonnes
22 rue Félicien Rops
91100 Corbeil-Essonnes
Objectifs
L’objectif de cette journée est de réunir les acteurs des 12 Cités Éducatives du département, avec à l’ordre du jour :
✔ conférences
✔ échanges de pratiques
✔ inter connaissance des acteurs des anciennes et des nouvelles Cités
De l’accompagnement individuel à l’action collective : Quelles politiques publiques pour les familles monoparentales ? Quels leviers pour les acteurs locaux ?
Les familles monoparentales représentent 27 % des familles en France, dans 82 % des cas portées par des femmes. Ce modèle familial, bien que courant, reste souvent confronté à des inégalités persistantes : précarité, accès aux droits, emploi, logement, discriminations…
🔹 C’est un enjeu national, mis en avant dans le rapport du Sénat 2024 et lors de la journée nationale sur la monoparentalité le 20 mai 2025. Depuis quelques années, et notamment depuis le Covid, les initiatives locales se multiplient et se renforcent.
🔹 C’est un enjeu majeur pour la politique de la ville : 1 ménage sur 6 est une famille monoparentale dans les quartiers prioritaires (1 sur 10 hors QPV).
Organisée par les quatre centres de ressources politique de la ville d’Ile-de-France (Pôle Ressources Ville de Paris, Ressources Urbaines, Pôle Ressources Ville et développement social et Profession Banlieue), cette journée a pour objectif de mieux comprendre la réalité de la monoparentalité, de favoriser les échanges entre professionnel·les et de renforcer l’action collective en Île-de-France.
Au programme :
📊 Matinée – Familles monoparentales en QPV, quelles réalités, quels besoins ? Cadre théorique, données clés, échanges autour des besoins
🤝 Après-midi – Retours d’expérience de projets menés en Île-de-France
Invitation et programme détaillé à venir
Lieu
Palais de la femme
94 rue DE Charonne
75011 PARIS
De 9h30 à 16h30
Public Concerné
Tous les professionnels franciliens intéressés par la question de la monoparentalité
Journée d’accueil des nouveaux coordinateurs santé franciliens
Le 23 septembre 2025
Journée organisée par Promotion Santé IDF, en collaboration avec les centres de ressource politique de la ville de la région IDF
Avec le soutien de l’ARS et de la Préfecture de Région IDF
Lieu
Maison des associations de solidarité (MAS Paris)
10 rue des Terres au Curé
75013 Paris
Objectifs
Favoriser la rencontre et l’échange entre acteurs de l’éducation et de la santé,
Partager les actualités et outils mobilisables dans vos pratiques,
Co-construire une culture commune de promotion de la santé dans les territoires.
Public Concerné
Nouveaux coordinateurs santé franciliens
Matinée d’échange également ouverte aux partenaires des CLS, CLSM, ASV, CPTS et MSP
Depuis l’Ancien Régime, l’État s’est efforcé à désamorcer les guerres vicinales par le biais des régulations sociales et pénales. La justice s’est progressivement substituée aux violences communautaires et à l’arbitraire des systèmes vindicatifs. Le succès de l’État pénal est considérable sans être total, car les affrontements entre bandes et entre quartiers rendent visible la persistance d’une conflictualité vicinale et vindicative, située principalement en milieu modeste, souvent urbain et restée hors du champ du pénal.
Une conflictualité inscrite dans la vie locale, enracinée dans l’informalité et l’interconnaissance, s’appuyant sur des normes telles que l’honneur, la virilité et nourrie par une intense quête de reconnaissance. Au-delà des ressorts normatifs, ces interventions visent à en étudier les modalités pratiques, en s’appuyant sur les acquis de la recherche.
Il s’agit donc de comprendre un phénomène qui n’est pas qu’un simple fait divers. Des affrontements collectifs aux ramifications sociales, économiques et culturelles qu’il est nécessaire de comprendre en profondeur, sans les cantonner à leur seule dimension violente, pour construire de solides stratégies d’action publique.
Aussi, pour y parvenir, cette formation est construite à partir d’une analyse poussée des acteurs, des pratiques et scènes sociales d’affrontement avant de développer une analyse des dynamiques à l’œuvre et des possibilités d’intervention.
Lieu
Pour le 12/09:
Salle polyvalente
3 place du 19 mars 1962
77 176 Savigny-le-Temple
Pour le 22/09:
Salle Le Millénaire
Savigny-le-Temple
Objectifs
Comprendre les raisons d’agir des jeunes impliqués dans les rivalités de
quartiers
Questionner l’idée affirmant que les réseaux sociaux aggravent les rixes entre
jeunes et préciser quelle est leur incidence réelle.
Partager des outils à tous les acteurs afin de trouver des solutions adaptées
par rapport à la situation du terrain.
Interroger les professionnels sur leurs postures professionnelles et leur
regard sur le public accompagné
Amener les professionnels à (re)penser leurs modalités de coopération avec
les jeunes, penser des modes de coopération avec eux et non seulement pour
eux
Public Concerné
Accessibilité aux professionnels de la politique de
la ville et du droit commun de Seine-et-Marne
Depuis l’Ancien Régime, l’État s’est efforcé à désamorcer les guerres vicinales par le biais des régulations sociales et pénales. La justice s’est progressivement substituée aux violences communautaires et à l’arbitraire des systèmes vindicatifs. Le succès de l’État pénal est considérable sans être total, car les affrontements entre bandes et entre quartiers rendent visible la persistance d’une conflictualité vicinale et vindicative, située principalement en milieu modeste, souvent urbain et restée hors du champ du pénal.
Une conflictualité inscrite dans la vie locale, enracinée dans l’informalité et l’interconnaissance, s’appuyant sur des normes telles que l’honneur, la virilité et nourrie par une intense quête de reconnaissance. Au-delà des ressorts normatifs, ces interventions visent à en étudier les modalités pratiques, en s’appuyant sur les acquis de la recherche.
Il s’agit donc de comprendre un phénomène qui n’est pas qu’un simple fait divers. Des affrontements collectifs aux ramifications sociales, économiques et culturelles qu’il est nécessaire de comprendre en profondeur, sans les cantonner à leur seule dimension violente, pour construire de solides stratégies d’action publique.
Aussi, pour y parvenir, cette formation est construite à partir d’une analyse poussée des acteurs, des pratiques et scènes sociales d’affrontement avant de développer une analyse des dynamiques à l’œuvre et des possibilités d’intervention.
Lieu
Maison du Citoyen et de la Vie Associative
Salle 101
16 rue du Réverend Père Lucien Aubry
94120 Fontenay-sous-Bois
Objectifs
Comprendre les raisons d’agir des jeunes impliqués dans les rivalités de
quartiers
Questionner l’idée affirmant que les réseaux sociaux aggravent les rixes entre
jeunes et préciser quelle est leur incidence réelle.
Partager des outils à tous les acteurs afin de trouver des solutions adaptées
par rapport à la situation du terrain.
Interroger les professionnels sur leurs postures professionnelles et leur
regard sur le public accompagné
Amener les professionnels à (re)penser leurs modalités de coopération avec
les jeunes, penser des modes de coopération avec eux et non seulement pour
eux
Public Concerné
Accessibilité aux professionnels de la politique de
la ville et du droit commun du Val-de-Marne